Death Note
– histoire :
Light Yagami est un lycéen surdoué qui juge le monde actuel criminel et corrompu. Sa vie change du tout au tout le jour où il ramasse par hasard un mystérieux cahier intitulé « Death Note ». Le mode d’emploi inclus dans le cahier indique que « la personne dont le nom est inscrit dans ce carnet meurt ». D’abord sceptique, Light teste le carnet et découvre que son pouvoir est bien réel. Il rencontre l’ancien propriétaire du Death Note, un dieu de la mort nommé Ryuk. Celui-ci déclare avoir volontairement laissé tomber son carnet dans le but de se divertir.
Light décide d’utiliser le Death Note pour exterminer les criminels, dans le but d’éradiquer le Mal et bâtir un monde parfait dont il sera le dieu. Il apprend peu à peu à se servir des pouvoirs du cahier. L’utilisateur peut seulement tuer une personne dont il connaît le visage, en y inscrivant son nom. Il peut également en préciser la cause ainsi que les circonstances détaillées, la cause par défaut étant la crise cardiaque.
Les nombreuses morts inexpliquées de criminels à travers le monde attirent l’attention d’Interpol et du mystérieux L, un détective capable de résoudre n’importe quelle énigme, mais dont personne ne connaît ni le visage ni le nom. L décide d’enquêter pour capturer le tueur en série, surnommé par le grand public « Kira » (« Kira » ? dérivé de la prononciation japonaise de « killer »). Entre Light et L, tous deux persuadés d’agir pour la justice, s’engage un combat acharné pour découvrir en premier l’identité de l’autre.
– Règle du Death Note :
La personne dont le nom est écrit dans un Death Note meurt dans les 40 secondes d’une crise cardiaque. Mais pour cela il faut avoir en tête le visage de la personne dont on écrit le nom, sinon cela ne fonctionne pas. Afin d’éviter de tuer les personnes qui portent le même nom et prénom.
Il est possible de préciser la cause du décès, ce qui laisse 6 minutes et 40 secondes pour donner des détails tels que l’heure et les circonstances exactes. Mais les circonstances doivent être réalisables. Par exemple, une personne présente à Tokyo ne peut pas avoir un accident en Europe 30 minutes plus tard.Il est aussi possible d’écrire les circonstances en premier, puis d’écrire le nom après. Dans ce cas il faut que le nom soit écrit dans un délai de 19 jours.
Seules les personnes ayant touché un death note peuvent voir et entendre le Dieu de la mort qui est lié au cahier.
L’humain qui ramasse un death note en devient le propriétaire, ce qui fait qu’il est lié au Dieu de la mort jusqu’à sa mort ou que le cahier soit fini. Il peut à tous moment renoncer au death note mais il perdra tous ses souvenirs en rapport au Death Note jusqu’à ce qu’il le touche de nouveau.
Une page séparée ou arrachée du Death Note, ou un morceau d’une page, en conserve tous les pouvoirs, avec tout ce que cela implique : une tierce personne qui écrirait le nom de quelqu’un dont elle a le visage en tête sur ce morceau de page en provoquerait la mort, qu’elle le veuille ou non [2]. Cependant, cela ne transfert pas la propriété du Death Note, qui appartient toujours à son détenteur.
Lorsqu’un Dieu de la mort tue grâce au death note, il vole le reste de l’espérance de vie de la personne qu’il a tué, mais cela n’est pas valable pour un humain. Le Dieu de la mort grâce à ses yeux peut voir le nom et l’espérance de vie de tout le monde. Et pour qu’un humain utilisant un death note puisse avoir le même pouvoir, il est possible de passer un pacte d’échange des yeux, mais en contre partie l’humain perdra la moitié de son espérance de vie. Un humain ayant les yeux d’un Dieu de la mort ne peut pas voir l’espérance de vie d’un autre humain ayant aussi un death note.
Un death note est fait pour ôter la vie, il n’est fait en aucun cas pour sauver une personne dont la vie doit s’achever. « Si un Dieu de la mort utilise le Death Note pour tuer l’assassin d’une personne qu’il affectionne, la vie de cette personne sera prolongée, mais le Dieu de la mort en mourra. »[3]
Le Death Note n’a pas d’effet sur les êtres de moins de 780 jours. Si l’on commet 4 erreurs en écrivant le nom d’une victime, le Death Note devient inopérant vers la personne visée.
Si l’on perd ou si l’on se fait voler le Death Note, il faut le retrouver dans les 490 jours suivants sous peine de perdre le droit de propriété.
Si le propriétaire du Death Note meurt, alors le droit de propriété revient à celui qui a le death Note.
Vous connaitrez la suite si vous lisez Death Note